La tendance Cross-over et Remake partie 1
Bonjour/Bonsoir à toutes et à tous,
Cette semaine je vais vous parler d’une chose qui me démange depuis un bon moment, comme l’indique si bien le titre, les crossovers, la signification du crossover dans le domaine du divertissement (bande dessinée, films, jeu vidéo) est la même. Un Crossover est un mélange de personnages issues chacun d’un univers différent et qui ont (souvent) leur propre histoire. Exemple côté film Marvel avec The Avengers (sorti en 2012) qui regroupe des personnages culte des bandes dessinées Marvel tels que Hulk, Captain America, Iron Man, Thor, Black Widow et Hawkeye. Et bientôt, un Justice League qui regroupe les personnages mythiques de DC Comics, tel que Batman (Dark knight), Superman (Man of Steel), Wonderwoman, Green lantern, Flash, Aquaman et autres… voici une comparaison intéressante entre les héros des 2 univers de la bande dessinée américaine Marvel et DC Comics. (http://collider.com/flash-movie-news-2016-justice-league-2017/).
Même s’il peut paraître improbable de voir Superman aux côtés de Spiderman, ces 2 univers de la bande dessinée américaine que l’on croit indissociable de leur éditeur a déjà par le passé fait exception comme on peut le constater ici. Nous verrons peut-être voir le jour une adaptation cinématographique mélangeant les héros de Marvel et DC Comics, seul l’avenir nous le dira.
Ces 2 films sont une adaptation de la bande dessinée américaine, mais la pratique n’est pas si récente que ça.
Depuis bien longtemps cela existe dans les jeux vidéo, exemple Marvel vs Capcom (1994), ou encore Tekken vs Street Fighter (2010), Super Smash Bros (1999), Mario & Sonic aux Jeux olympiques (2007), J-Stars Victory Vs (2014) [voir vidéo en fin d’article]
Bien que cette pratique ne date pas d’aujourd’hui, ce n’est peut-être que moi, mais j’ai ce sentiment que cela se multiplie d’année en année, et ne se limite pas cinéma, jeu vidéo ou bande dessinée.
Jeu japonais avec 45 ans de personnages de mangas, dont 32 séries, et 52 personnages dans le jeu
À très bientôt pour la suite.
Bande-annonce alléger, c’est pour bientôt.
Bonjour, voici le 2e article de cette semaine.
Comme l’indique le titre de cet article, je vais vous parler aujourd’hui d’une nouvelle qui a un enjeu économique à double tranchant pour un film, c’est-à-dire les bandes-annonces. Depuis plusieurs années déjà, les bandes-annonces ont un rôle bien précis, celui de donner envie au spectateur d’aller le regarder au cinéma. Mais depuis quelque temps, les salles de cinéma se vident malgré les campagnes publicitaires qui nécessites des dépensent de sommes astronomiques pour véhiculer l’information; alors pourquoi un désintéressement de la part d’un potentiel public par rapport aux estimations ? La réponse à cette question est bien entendu la durée et la quantité de publicité.
Le média utilisé de façon abusive qui véhicule les publicités est internet, suivi de près par la télévision et la radio. Un utilisateur régulier de YouTube se fait constamment bombarder de publicités, juste avant de pouvoir regarder sa vidéo, et plus on avance dans le temps, plus d’images du film sont dévoilées et donc révèle en grande partie l’intrigue du film avant même d’entrer dans la salle de cinéma quelques semaines plus tard. Cette impression d’avoir vu le film en entier se fait alors ressentir à cause de son omniprésence sur certaines périodes, et aussi à cause de sa durée, en moyenne 2:30min à 3:00min quel que soit le film hollywoodien. Cette présence avec ces durées on l’effet contraire que celui qui est recherché à la base.
La National Association of Theatre Owners (N.A.T.O.), une organisation américaine qui représente plus de 31.000 salles de cinéma aux États-Unis et celles de 78 pays dans le reste du monde, a publié des recommandations sur la longueur des bandes-annonces : elles ne devraient plus dépasser les deux minutes (voir ici). Soit 30 secondes de moins que la norme. Et dans certains cas, 1min de moins pour Hobbit: La désolation du Smaug. Le mouvement déclencheur de cette initiative est, selon The Verge (oui, ce site existe réellement, mais il n’y a que les francophones pour en rigoler) les propriétaires de salles de cinéma s’inquiétaient, que le public se plaignait de la combinaison de bandes-annonces trop longue et publicité avant la diffusion des films. Source : http://www.theverge.com/2013/5/28/4374356/theater-owners-reportedly-pushing-for-shorter-movie-trailers-improve-experience .
L’un des films ayant fait les frais de remarques, est The Amazing Spider-Man comme l’indique cet article, en passant par Prometheus, ayant vu le film, c’est vraiment avec le sourire aux lèvres que je regarde à nouveau la bande-annonce de 2:20 minutes, si une personne parmi vous n’a pas vu le film, je peux tout simplement vous dire et sans aucune retenue « regardez cette bande-annonce, vous avez tout vu »
Rayfire : La simulation destructrice
Bonjour,
Nous nous retrouvons cette semaine sur un plugin qui a la particularité de facilité la destruction d’éléments 3D de façon très réaliste. Après de longues recherches sur internet concernant Rayfire, je n’ai absolument rien trouver concernant son créateur, l’entreprise, ou quelconque trace de son passé, et pourtant, c’est le plugin qui a été utilisé dans de grandes licences de films et jeux vidéo tel que :
– The Avengers
– Diablo 3
– Transformers : Dark of the Moon
– The Elder Scrolls Online
– 2012
– Batman : Arkham City
– Star Treck Into Darkness
et bien plus encore…
Voici une vidéo de démonstration des possibilités du plugin :
En quelques mots ce logiciel fonctionne de la façon suivante : simulation des forces exercés sur une matière plus ou moins résistante. C’est avec une multitudes de paramètres et quelques notions de physiques que le logiciel simule avec quelle force frapper une matière, et avec quelle résistance cette matière fait face à cette force qui la frappe (et ce, quel que soit sa forme) pour un résultat le plus proche possible du réel.
RayFire Studio se fait discret sur la composition de l’équipe, néanmoins, leur plugin est un outil de qualité que je peux recommander sans hésitation. Sur ce marché, il existe aussi MassFX qui est tout aussi bien pourvu qui intègre les logiciels 3DS Max depuis 2012, en passant par Reactor mais qui, lui, fait pâle figure à côté de ses 2 concurrents direct.
La semaine prochaine je parlerai encore d’un autre plugin qui est tout aussi bien pensé. Restez à l’écoute.
Cordialement,
LynxPaw
Google glass, Big Brother en action ?
Bonjour,
Il y a quelques jours j’ai regarder une série très intéressante du nom de « Black Mirror », mettant en scène différents personnages dans un environnement futuriste (ou presque) où chacun est confronté à la suprématie d’un système qui s’installe, et dont il est difficile de s’en défaire. Cette fiction ne laisse pas indifférente et nous amène à réfléchir sur le présent et ce sur quoi on se dirige. Et je vous invite très fortement à le visionner.
Le deuxième épisode de la série m’a fait réaliser que nous sommes bel et bien en train de nous propulser en plein dans un système inquiétant, et cela m’a fait sans hésitation penser au Google Glass et ses fonctionnalités. Et récemment, j’ai lu un article sur la « NSA qui peut espionner des ordinateurs non connecter à internet » (article ici), mais aussi « La webcam de notre ordinateur peut nous espionner » (article ici). Ce qui m’a amené à me demander, est-ce que notre vie privée est déjà plus que menacée ?
Ce que je pensais n’être qu’une fiction deviens réalité petit à petit et , je ne le cache pas, cela m’inquiète, et je ne suis pas le seul.
Bien avant que le produit ne soit commercialisé et fasse partie de notre quotidien, il fait déjà parler de lui de différentes façons. Tout d’abord, qu’est-ce que le Google Glass ? Ce n’est rien d’autre qu’une « paire de lunettes du futur » développer par le géant Google. Cette paire de lunettes, bénéficie d’un écran semi-transparent sur lequel on peut y voir des informations, naviguer dans un menu, faire des photos, des vidéos, les partager via un réseau social, fonction GPS, WiFi, Bluetooth tel que sur un smartphone, même des jeux sont en développement spécialement pour cet appareil.
Cela peut paraître anodin pour certains, mais il représente quand même un danger potentiel pour notre vie privée. Premièrement, quel que soit le fichier partagé via le Google glass, photos, vidéos, toutes ces données passent par les serveurs de Google, et donc, une source d’informations relativement précises sur l’utilisateur lambda. Deuxièmement, rien ne nous garantit que si on éteint l’appareil qu’il n’est pas en état de fonctionner ou d’être activé sans notre consentement. Un autre article m’a ouvert les yeux sur les failles de tous ces éléments qui nous semble personnel et intimes, lié au réseau social le plus utiliser dans le monde Facebook (article ici), même lorsque l’on écrit un texte puis change d’avis avant de poster, Facebook le considère comme « autocensure ». Information non visible pour les utilisateurs, mais définitivement exposée aux employés de Facebook, il suffit que l’un d’eux soit mal intentionné, il a accès à bien plus de données que celles que l’on croit juste visibles uniquement par des amis.
Pour en revenir au sujet, le Google Glass représente selon moi l’incarnation de Big Brother, on s’attendait a être surveiller par des caméras de surveillance dans tous les coins de rue, des satellites, et autres moyens farfelus, mais il tient déjà dans notre poche, notre smartphone, et bientôt les lunettes de Google.
Si je dois dire une chose, c’est soyons prudent avec toutes ces nouvelles technologies aguichantes, et les risquent qui les accompagnes.
Voici une vidéo fort sympathique de Gonzague.Tv pour dédramatiser un peu mes propos cités plus haut :
Les articles liés à cette analyse sont à débattre, s’ils sont véridiques ou non, cependant je dois dire que ce sont des choses tout à fait possibles.
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